Collectionneur de poésies

 

Ben oui, quoi ! Je suis un collectionneur de poésies. Pourquoi ne pourrais-je pas ? Rimbaud, Verlaine, Baudelaire et d’autres inconnus, voire introuvables… mais de notre époque. 

 

Eh oui, à l’ère de la robotisation, il y a encore des poètes. L’I.A. a encore beaucoup à apprendre de nous. Nous, les humains, ne sommes pas encore à l’apogée de ce que nous pouvons faire. Menacés ? Peut-être mais pas encore finis ! 

 

D’ailleurs, voici une poésie, à collectionner, prise dans « Douze – en chiffres et en lettres » pour exemple ; l’I.A. ne l’aurait jamais pensée.

 

BOX COLLECTOR

Je suis un collectionneur de boîtes, choisies 
Parmi toutes celles que nous offre la vie. 
Vous en avez eues, vous aussi, mais qui a fait 
Attention, qui se souvient, qui les a gardées ?

La première, que j’ai eue, était mon berceau. 
Puis, les écoles et, pardonnez le jeu de mots, 
Le club où j’allais danser le samedi soir 
Et l’usine qui a détruit tous mes espoirs.

Il ne me manque que la boîte de fin, 
Que je ne verrai pas, et que je vois très bien, 
Mais, je ne suis pas pressé de la détenir.

Ce n’est pourtant pas celle qui me fait souffrir. 
C’est plutôt celle que tous avons inventée : 
La mise en boîte pratiquée pour se moquer.

 

Pour les profanes de la poésie, c'est un sonnet en vers libres. 

De toute façon, je collectionne ce que je veux ! C’est cela être humain : être libre.

 

À bientôt…

Voici mes amis en écriture : Atelier d’écritures,  avidoxe ; cap. Margenspat ; dinadedan ; EcrirePastel ; Elsass-by-Nath ; Eric Valloni ; Ant Askman, V.DiMarco et VittorioDenim

Ce soir, portes ouvertes ; Halloween

 

On ne plaisante pas avec Halloween ; on le fait ou pas ! Après-tout, le 1^er novembre, vous allez bien au cimetière rendre visite à vos morts ? Pourquoi ne pourraient-ils pas vous rendre visite à vous le 31 octobre !

La coutume (Poésie ?) veut que vous y alliez pour faire un peu de ménage sur les tombes, pour les nettoyer, les agrémenter de fleurs… les rendre plus jolies, vous y recueillir. C’est la moindre des choses.

Et puis, il y a ceux qui sont incapables de passer un petit message en pensée. Tout ce qu’ils savent faire est casser, abîmer, détruire… Et on s’étonne que certains esprits ne soient pas comme eux ! Voir le livre « Les Démons d’Halloween » de Patrick Frickert et Vittorio DiMarco.

Tout monde est monde et, quand tu fais du mal, attends-toi à un coup du sort en retour ! Ce n’est que pure logique.

Édité chez TheBookEdition.com

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Faire court à Ferrette

 

C’est une vidéo sur Ferrette, cette petite et agréable commune du Sundgau qui laisse penser à des légendes, des contes, des « Textes Courts » à se partages lors des veillées !

Ce sont des textes courts pour les gens pressés ou ayant d’autres priorités, plus disposés à s’occuper de leurs comptes en banque qu’à rêver aux nains et leur grotte ou aux comtes de Ferrette et leur château !

C’est, 1, un livre sans prétention et pourtant... Pour tous ! Jeunes et vieux, riches et pauvres ; un livre pour tous âges, où celui qui n’a que 2 minutes 15 a le droit de lire autant que celui prendra une heure. 

Et c'est, 2, avec Finir à Ferrette, un livre pour partager l'incroyable comme le quotidien, le passé comme le présent, une enquête dans le Sundgau qui laisse un goût de merveilleux et de mystère.  

Pourquoi ? « Textes Courts » vous le dira.

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Ah si j'étais dans les jardins Hoff

 de la poésie

 https://youtu.be/b8lwaW6031U

c'est un jardin extraordinaire qui accueille de la poésie peu ordinaire 

Le plaisir est partout à qui sait le voir et peut se partager quand on sait le prendre. 

Bonne visionnage  

 

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Elle s'appelait Gribouille

 

C’était une chanteuse qui, en 1966, était connue pour une chanson : Mourir demain. Elle se faisait appeler Gribouille mais s’appelait Marie-France Gaité.

Elle était née à Lyon en 1941. Elle monta (comme on dit) à Paris où elle vivait de ses dessins à la craie sur les trottoirs. Jean Cocteau la remarqua, sans doute son air androgyne, sa voix grave et ses cheveux courts, et la voilà propulsée dans le monde du spectacle où elle se défendait bien.

En 1966, elle chanta à Bobino en première partie de François Deguelt (rappelez-vous : il y a, le ciel, le soleil, la mer…). El 1965, une de ses chansons avait pour titre : Mourir demain.

En 1968, elle s’en alla chanter pour les anges alors qu’elle venait de terminer l’enregistrement d’un nouveau disque !

Pourquoi je vous en parle ?

Parce qu’elle avait 27 ans (26 et six mois pour être précis). Et j’aimerais qu’on s’en rappelle autant que Brian Jones, Jimi Hendrix, Janis Joplin ou Jim Morrison. Elle était une artiste comme les autres. Mais il manquait les 6 mois pour faire partie du « clan des 27 » ! (Tous disparus à 27 ans)

De plus, elle aurait mérité d’être dans la photo du siècle, celle avec Sylvie Vartan, Sheila, Françoise Hardy, Michèle Torr, Johnny, etc. Photo faite en 1966 par Jean-Marie Perrier. Mais c’est vrai qu’elle ne faisait pas partie des artistes dits « yéyé » !

Voilà, une histoire courte pour une vie courte ; tout cela et bien plus m’a marqué.

À bientôt…

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